Cinéma : “Radical Resilience”, quand le gauchisme assume le fait d’être une maladie mentale

Radical Resilience est un projet de film, crée par des activiste-x-s pour les activiste-x-s (et pour toutes les personnes qui s’engagent dans les luttes sociales ou environnementales). Le modèle semble se répéter dans beaucoup de mouvements/luttes : des personnes sont dépassé-e-x-s par les événements et/ou se surchargent durant une longue durée. Les conséquences sont des traumatismes ou alors des épuisements (burnout) qui conduisent souvent à un retrait de l’activisme politique. L’absence de ces personnes mais aussi la perte d’expériences et de savoir affaiblissent les luttes. Pour quelles raisons tant de personnes délaissent nos mouvements ?

Quels en sont les facteurs personnels et qu’est-ce qui est imputable à nos dynamiques de groupe ? Comment répétons-nous des mécanismes de la société, que nous voulons changer, dans nos propres groupes politiques. Qu’est-ce qui pourrait nous aider à devenir plus résistant-e-x ? Comment pouvons-nous construire des mouvements variés et produire une profonde transformation ?

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Dans ce film, des personnes venant de contextes différents parlent de leurs expériences avec le burnout, comment elles l’ont ressenties, quelles ont été les causes, et qu’est-ce que nous, en tant qu’invidu-e-x ou en tant que collectif, pouvons faire pour prévenir ou guérir cet épuisement. En raison de maladie chronique, le tout s’est un peu ralentit mais le film est maintenant fini !

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Radis Calcaire est un collectif nomade qui cherche à contribuer à une culture du soin aux collectifs dans les orga’ anti-autoritaires et dans une perspective révolutionnaire émancipatrice, à travers des sujets comme les dynamiques collectives, les modes d’organisation et les postures individuelles au sein des collectifs.”

Vous avez compris quelque chose à ce charabia ? Moi non plus ! Mais en creusant en profondeur, on comprend que Radis Calcaire pose la question de la santé mentale dans les milieux gauchistes. Car le thème est devenu majeur dans cet infra-monde composé avant tout d’adulescents mal dans leur slip, d’enfants de la bourgeoisie tralala, d’hommes soja et de maniérés. Le milieu trans étant l’apothéose en la matière ! Si certains n’ont pas deux trois autismes dans les coins ils s’en cherchent et se glorifient d’être fragiles mentalement. Déstructurés. Perdus dans leurs angoisses de gosses de notables accros aux jeux vidéos, les “déconstruits” cherchent en permanence un dérivatif à leurs angoisses de gâtés.

Sur les réseaux sociaux, le thème “santé mentale” est l’un des thèmes principaux des discussions animant ces milieux. Et la réponse est toujours la même : il faut “transitionner” pour se sentir mieux. Pour ensuite s’habiller en rose bonbon, comme une gamine de 8 ans. Et si, après la transition, la petite têtête à pépette ne va toujours pas bien, c’est immanquablement de la faute à “l’oppression systémique du patriarcat blanc”.

Dans les milieux antifas et féministes, les problèmes mentaux sont moins mis en avant mais la pression de groupe, notamment à l’encontre des hommes, est phénoménale. Ceux-ci sont appelés à se remettre en question en permanence, à s’auto-castrer face à des femelles ayant des comportements dictatoriaux. Tabou dans ce milieu et pourtant réel problème accentué par l’épuisement de la lutte. D’où des burn-outs militants de la part de certains activistes.

Radis Calcaire organise à ce propos, le 18 avril prochain à Rennes, une projection du film documentaire “Radical Resilience”. Dans la bande-annonce du film, cette pression interne est abordée de façon cryptique vers la fin.

La Révolution mange ses enfants dit-on, mais avant même l’avènement de la Révolution, le gauchisme détraque les esprits de ses propres militants. Car le gauchisme est devenu une maladie mentale, la sénilité du communisme.

Comme une illustration de cette folie : une projection de ce film aura lieu le samedi 22 avril au Bocal, un local transactiviste de Rennes. Cette soirée est interdite aux “mecs cis-het”, c’est à dire aux hommes normaux. Avec de tels comportements, le milieu gauchiste n’a pas fini d’alimenter les caisses de big pharma en achetant des anxiolytiques par palettes entières !

Breizh Info