Criminalité musulmane : “Dès lors qu’on verse 20% de nos gains à la mosquée, le reste devient licite”
DE HORS-LA-LOI À FOUS DE DIEU
Ce père de famille se dit rangé. Des braquages de bijouteries comme de l’action violente au nom de l’islam. Ruddy Terranova, élevé chez les jésuites, assure ne plus être fiché S et rêve désormais de faire du cinéma. Sa propre jeunesse, comme celle de tant d’autres délinquants, pourrait servir de scénario. Ainsi raconte-t-il à l’écrivain Frédéric Ploquin, grand spécialiste du banditisme, comment un séjour en prison peut transformer des criminels en terroristes fanatiques. Une rédemption par le sang que les islamistes leur vendent comme un remède à leur propre chaos avec, à la clé, celle du paradis. Histoire du « gangsterrorisme », le cauchemar de l’Occident.
Braqueurs ou trafiquants, ils se sont radicalisés en prison. Devenus combattants islamistes, ils viennent nourrir et enrichir les cellules terroristes. Enquête Par Frédéric Ploquin « On justifie les mauvaises actions au nom de la cause. Dès lors que l’on verse un cinquième de nos gains à la mosquée – le minimum légal, fixé par un verset du Coran –, le reste devient religieusement licite. J’admets que cette couverture m’a poussé à la vaillance. »
Ruddy Terranova, du sang corse et pied-noir dans les veines, fils de bandit, voyou lui-même, converti à l’islam en prison, a longtemps été sûr de son fait, au moins jusqu’au moment où il a eu du mal à se justifier devant ses enfants : escroquer, monter au braquage, voler des voitures, investir dans la contrefaçon… tout est autorisé…

Entretien de Ruddy/Mehdi Terranova, ex-criminel qui a passé 14 ans sous les verrous. Sa vie, son évolution dans le banditisme, ses différentes affaires, sa conversion à l’islam rigoriste et ses conclusions sur son parcours.
Dès lors qu’on verse 20% de nos gains à la mosquée – le minimum légal fixé par un verset du coran – le reste devient religieusement licite (…) Tout est autorisé à ces Robins de bois des musulmans, qui pensent à reverser à la mosquée une partie du butin de leurs larcins. Le célèbre prédicateur jordanien, Abou Qatada, (…) a mis au point une sorte de kit intellectuel pour délinquants prêts à rallier sa cause (…) “Le nerf de la guerre, c’est l’argent. En temps de guerre, les musulmans peuvent commettre des actes illégaux (…)”



